POUR PUBLICATION IMMÉDIATE

MONTRÉAL, QUÉBEC – L’Administration de McGill a proposé un gel des salaires sur plusieurs années pour un grand nombre de ses employés de soutien qui sont actuellement en conciliation. L’Administration de l’Université est en négociation depuis près de deux ans avec MUNACA (le Syndicat des Employés de Soutien de McGill), qui représente ces travailleurs. Le contrat actuel est arrivé à échéance en 2018.

La proposition de l’Administration réduit le maximum de nombreuses échelles salariales actuelles, ce qui signifie que les employés de longue date qui se trouvent présentement au sommet de l’échelle ou presque verront leur salaire gelé, dans certains cas jusqu’en 2026.

Bon nombre des personnes touchées sont des travailleurs essentiels qui ont continué de travailler sur place pendant toute la pandémie, alors que le reste du campus était fermé et que les autres membres du personnel travaillaient à domicile. Ces travailleurs ont pris soin des animaux, ont effectué le soutien technique de l’Université et ont travaillé en première ligne dans les résidences où des éclosions de COVID sont survenues.

Selon Statistique Canada, l’inflation à Montréal a atteint 5,7 % en février, le niveau le plus élevé depuis 1991.

« Cette proposition est clairement inacceptable, surtout dans l’économie actuelle », déclare Thomas Chalmers, président de MUNACA. « C’est comme s’ils voulaient que nous fassions la grève. »

Ces négociations font suite à une couverture médiatique du début de l’année, concernant le salaire de la principale de McGill, Suzanne Fortier, qui prend sa retraite. Cette dernière recevra plus de 860 000 $ en rémunération cette année, puisqu’elle bénéficie d’une prime de départ à la retraite en plus de son salaire de base de 470 000 $.


Contact Médias:
Thomas Chalmers, Président de MUNACA
president@munaca.com
514-398-6565

25 février 2022

Depuis quelques jours, nous nous réveillons tous les matins avec des images difficiles en direct de l’Ukraine. Dans cette ère de médias sociaux, ce conflit qui s’envenime sous nos yeux montre à quel point notre paix et notre liberté sont fragiles. La pandémie n’étant pas terminée qu’un autre événement choquant nous rappelle l’importance de la compassion et de la solidarité.

« Pendant qu’ensemble nous nous efforçons à bâtir une société inclusive de droits et de libertés, certaines parties du monde s’affairent à briser cette paix. Nos pensées sont avec la communauté ukrainienne en espérant que ce non-sens et cette insécurité cessent le plus rapidement possible », se désole Yvon Barrière, vice-président exécutif régional de l’AFPC-Québec.

L’AFPC-Québec est de tout cœur avec les communautés ukrainiennes, au Canada et partout dans le monde, contre cette action outrageuse. La communauté ukrainienne du Canada est la plus grande en dehors de l’Ukraine. C’est plus d’1.3 millions d’individus au Canada et quelques 40 000 québécoises et québécois d’origine ukrainienne parmi nos membres, nos collègues, nos familles et notre collectivité. 

POUR DIFFUSION IMMEDIATE

[MONTREAL] L’Université McGill est fière d’affirmer être l’un des meilleurs employeurs de Montréal, mais cela ne se traduit pas dans les faits pour ce qui est du traitement réservé à ses employés. 

L’Association Certifiée du Personnel Non-Académique de l’Université McGill (MUNACA), qui représente près de 2000 employés de soutien, est en pourparlers contractuels avec l’Administration de McGill depuis Septembre 2020. Notre ancien contrat est expiré depuis le 30 Novembre 2018. Au cours des 15 derniers mois, nous avons rencontré l’Employeur à 48 reprises.

MUNACA s’est récemment fait dire par l’Employeur que leur dernière offre salariale était sur le point d’être l’offre finale et qu’il ne lui restait que peu de marge de manœuvre. Cette offre salariale est significativement inférieure au coût de la vie, ce qui signifie que nos membres devront perdre de l’argent pour la durée du contrat. L’Employeur refuse également de payer rétroactivement les membres ayant quitté McGill ou ayant pris leur retraite depuis Novembre 2018.

Les membres de MUNACA demandent à l’Administration de l’Université McGill de présenter une offre salariale qui non seulement tient compte de la montée en flèche du coût de la vie, mais qui reconnaît également le fait que le personnel de soutien a joué un rôle essentiel dans le maintien des activités de l’Université depuis le début de la pandémie de Covid-19.

« Cette administration propose des salaires en dessous du coût de la vie, malgré le fait que la rémunération de la rectrice a dépassé $860,000 et leur fonds de dotation, qui s’élève à plusieurs milliards de dollars, a augmenté de 45% depuis de début de la pandémie« , a déclaré Thomas Chalmers, président de MUNACA*.

Il est temps que l’Administration de l’Université se rende compte que son statut “d’un des meilleurs employeurs de Montréal  » ne correspond pas à la réalité pour plusieurs de ses employés. Les membres de MUNACA ont travaillé extrêmement dur afin assurer le fonctionnement de McGill pendant la pandémie. Tout ce que nous demandons, c’est d’être traités avec respect et d’avoir un contrat équitable.

Contact: 
Thomas Chalmers
514-398-6565
reception@munaca.com

Cher Principal Fortier et autres,

Nous avons quelques questions concernant l’accélération du retour sur le campus des membres de la Faculté, du personnel et des étudiants.

Considérant ce qui suit:

  • La deuxième vague est de retour en force, avec plus de 750 nouveaux cas aujourd’hui (28/09/20).
  • Le gouvernement Fédéral et celui de l’Ontario invitent tout le monde à se faire vacciner contre la grippe, Québec ne le fait pas et McGill n’offre pas de vaccin contre la grippe cette année.
  • McGill n’est pas disposée à fournir des masques ou des couvre- visages aux employés travaillant sur le campus.
  • McGill n’est pas disposée à prolonger l’offre de stationnement gratuit afin que les employés puissent éviter le transport en commun malgré les risques sanitaires y étant associés.
  • Notre voisin du sud est une poudrière et affiche le pire bilan en ce qui a trait à la gestion de la pandémie. Avec seulement 4% de la population de la planète, ils ont plus de 25% des cas et plus de 25% des morts. L’Administration Trump a, c’est le moins que
    l’on puisse dire, minimisé la sévérité de cette crise et est en train de considérer la solution de l’immunité collective, un plan qui, selon certains scientifiques, pourrait entraîner plus de deux millions de morts.
  • Le gouvernement provincial avait annoncé une alerte orange mais nous sommes maintenant en Zone rouge.
  • Au Québec, depuis le début de la pandémie jusqu’à aujourd’hui le 28/09/20, il y a eu 72,651 cas avérés et 5,826 personnes sont décédées.
  • Des étudiants de McGill questionnent le décompte de l’Administration en ce qui concerne le nombre de cas de Covid à McGill. L’Administration a rapporté six cas alors que des étudiants affirment qu’il y en a beaucoup plus:


Compte tenu de ces informations, qu’est-ce que l’Administration de McGill fait?

  • Permettre à 30% de la capacité des étudiants et du personnel d’être présents sur le campus.
  • Rappeler au travail des employés pouvant effectuer à 100% leurs tâches à partir de la maison. La raison donnée pour cela est que l’Administration ne veut pas que les employés s’habituent à travailler de la maison mais va plutôt risquer leur santé et leur sécurité en forçant leur retour sur le campus.
  • L’Administration a décidé que des problèmes de santé auparavant estimés comme acceptables pour rester à la maison, comme le fait d’être un survivant du cancer ou le diabète, ne sont plus des raisons acceptables pour ne pas être rappelé au travail.
  • L’Administration de McGill a annoncé la semaine passée qu’il n’y avait pas besoin de ralentir l’accélération du retour au travail et en classes malgré l’alerte orange.
  • L’Administration suit les restrictions du gouvernement provincial, celui avec le pire bilan de gestion de la pandémie au pays. La même administration affirme être un des meilleurs employeurs.

Principal Fortier et autres, pensez-vous que ces politiques soient les bonnes étant données les circonstances? Ces politiques sont incompatibles avec votre préoccupation affichée de créer un lieu de travail sécuritaire. N’est-ce pas le bon moment de prendre du recul et de remettre la santé et la sécurité de toute la communauté au premier rang des priorités? Nous ne contestons pas l’humanité ni la sincérité de ceux prenant les décisions concernant le retour au travail. Nous savons qu’ils ont des membres de leur famille, des enfants et des amis affectés par cette crise. Nous demandons simplement une reconsidération des priorités: donnez la priorité à la santé et la sécurité des étudiants, du personnel et des membres de la Faculté et non à la reprise des activités sur place.

Salutations,
Le Comité Exécutif de MUNACA.

Chers membres,
À la réunion du Conseil Syndical du 26 Août, une motion a été passée en soutien à nos frères et soeurs autochtones et noirs dans leur appel à enlever la statue de James McGill. Dans le cadre de cette motion, nous avons aussi appelé à mettre fin au racisme systémique et à prendre des mesures spécifiques et concrètes afin de promouvoir l’inclusion et d’éliminer tous les obstacles à l’accès aux études et à l’embauche.


Le Conseil Syndical soutient ces mesures et nous estimons que ce n’est pas le moment de rester silencieux face à ces enjeux et que nous devons respecter et poursuivre le rôle du mouvement syndical en tant qu’agent de changement social. Le mouvement syndical s’est battu pour et a réussi à amener plusieurs améliorations dans la vie de tous les Canadiens telles que: l’assurance-emploi, la couverture médicale, les congés de maternité et de paternité et une définition élargie et plus inclusive de la discrimination, pour n’en nommer que quelques- unes. L’heure est venue de mettre fin au racisme – sous toutes ses formes.

Nous sommes à un moment historique crucial où nous pouvons faire une différence afin de créer un avenir meilleur et plus juste pour tous.

Le racisme ne doit avoir aucune place dans notre Syndicat, ni dans la Communauté de McGill, ni dans notre société en général.

En toute solidarité,
Le Comité Exécutif de MUNACA.

Take James McGill Down campaign

Public Letter

Chers membres de MUNACA,

Je vous écris aujourd’hui à propos des évènements qui sont en train de se passer aux États-Unis. Le 25 Mai un homme noir a été tué par des officiers de police à Minneapolis. George Floyd a été tué après avoir apparemment essayé d’acheter de la nourriture avec un faux billet de $20. Ces décès causés par des officiers de police arrivent depuis beaucoup trop d’années. Très peu a changé depuis que j’ai regardé le discours “I Have a Dream” de Martin Luther King à la télévision le 2 Août 1963. Pour paraphraser Dr King: lorsque vous abaissez quelqu’un, vous abaissez tout le monde. Le racisme est un fléau de l’humanité et doit être éradiqué; ne pensons pas qu’il s’agit seulement d’un problème américain, il faut se souvenir que dans notre ville, Anthony Griffin, Fredy Villanueva, Nicholas Gibbs et d’autres ont été tués par la police. Plusieurs ont essayé de combattre ces crimes et pourtant ils continuent. Lorsqu’une personne innocente est assassinée en raison de la couleur de sa peau, nous devons tous nous lever et dire “Jamais Plus!”

Il y a des périodes où j’ai peur pour notre espèce et nous sommes dans une de ces périodes. Cependant, lorsque je pense aux contributions de Martin Luther King, Malcolm X et Nelson Mandela, j’ai moins peur.

Malcolm X avait raison lorsqu’il disait que le Rocher de Plymouth était tombé sur les noirs, mais que le rocher avait maintenant pris la forme d’officiers de police.

Nous devons trouver une manière d’arrêter le meurtre d’hommes, de femmes et d’enfants tués en raison de leur couleur ou ethnie. Les gens de couleur ne devraient pas avoir à vivre leur vie de tous les jours en ayant peur pour leur sécurité, spécialement de ceux étant supposés ‘servir et protéger’.

Je demande à tous les membres de MUNACA d’élever la voix et de condamner ces meurtres.

Une manière de montrer votre appui, par exemple, est de visiter https://blacklivesmatter.com/ ou d’autres sites similaires afin de faire un don pour faire avancer la justice et de prêter votre voix au mouvement.

En toute solidarité,

Thomas Chalmers
Président de MUNACA – AFPC 17602 – 514-398-6565

“Une injustice n’importe où est une menace à la Justice partout.”
– Martin Luther King Jr.

https://www.archives.gov/files/press/exhibits/dream-speech.pdf

“Si vous restez neutre en situation d’injustice, vous avez choisi le côté de l’oppresseur”
– Desmond Tutu

Le communiqué de l’AFPC:
http://psacunion.ca/anti-black-racism-its-everyones-fight

Je vous propose deux liens venant de gens qui normalement ne commentent pas publiquement ce qui se passe dans le monde:

https://www.secondcityhockey.com/2020/6/1/21277353/chicago-blackhawks-jonathan-toews-statement-george-floyd-death-protests-black-lives-matter

https://www.nbcsports.com/chicago/blackhawks/blackhawks-zack-smith-issues-statement-following-death-george-floyd-protests-0

Chers membres MUNACA,

Nous espérons que vous allez bien et que vous êtes en sécurité malgré les circonstances. Nous vous écrivons aujourd’hui afin de vous informer de quelques changements concernant la date de notre Assemblée Générale Annuelle.

Selon nos statuts, l’Assemblée Générale Annuelle doit être tenue au plus tard le 15 Juin de chaque année. Cependant, nous pensons que tous s’entendent sur le fait que cette année n’a rien d’une année normale. La pandémie du COVID-19 a eu un impact majeur sur tout ce que nous faisons. Les grands rassemblements ont été bannis par le gouvernement, l’AFPC a repoussé aux prochaines années le Congrès Régional du Québec et le Congrès National Triennal. Cette pandémie est une force majeure mettant au défi les Syndicats et les Associations qui doivent maintenant reconsidérer comment gérer leurs opérations quotidiennes, un défi auquel MUNACA doit aussi faire face.

Le Lundi 11 Mai, le Conseil Syndical a décidé que dans l’intérêt des membres, l’Assemblée Générale Annuelle sera reportée à l’automne. Nous espérons que nous serons alors en mesure de nous réunir en personne. Si cela n’est pas possible, nous tiendrons l’assemblée virtuellement. Dans l’intérim, nous allons explorer la possibilité d’offrir des sessions d’informations en ligne. Restez à l’écoute, nous vous tiendrons au courant!

Chers Provost Manfredi et VP Beauchamps,

Au nom des Syndicats et Associations soussignés et représentant près de 10,000 employés non-enseignants, nous avons les recommandations suivantes afin d’améliorer les relations de travail et combattre efficacement le Coronavirus et ses impacts considérables sur la communauté de McGill, et dans l’ensemble de la province et du pays.

Vous ne serez pas surpris d’apprendre que nous sommes préoccupés par la façon dont l’Administration de McGill gère cette crise. Nous ne sommes pas ici pour blâmer quiconque, mais pour faire face à cette crise. Nous croyons à la coopération, la consultation et la solidarité. Nous sommes aussi très conscients du fait qu’il s’agit d’une crise globale et que les enjeux sont complexes et parfois accablants. Selon nous, ce n’est pas le temps d’avoir un mode de gestions descendante (top-down), mais le temps de travailler tous ensemble. Jusqu’à tout récemment, un de nos principal problème avec votre administration était que vous promulguiez des décrets avec peu ou aucune consultation, comme si à vos yeux nous ne faisions pas partie de la communauté de McGill et que nous n’étions qu’une arrière-pensée. Ceci étant dit, les membres de la centrale RH nous ont contactés afin de faire appel à notre considération et coopération; concrètement ils nous ont demandé comment nous pourrions travailler ensemble.

Nous avons quelques suggestions:

– informer tous les membres de la communauté qu’ils seront compensés comme ils le seraient normalement. Ceci contribuerait grandement à réduire le stress de toute la communauté;

– informer la communauté que seulement les services minimum essentiels seront maintenus jusqu’à ce que le gouvernement provincial le déclare autrement. Cela doit s’appliquer à toute l’Université, or nous avons été informés que les RH locales, les gestionnaires et les superviseurs interprètent la notion de ‘services essentiels’ d’une façon très libérale;

– et finalement, puisque nous avons beaucoup à offrir, tous les groupes soussignés devraient se voir offrir un siège sur le Comité d’Urgence. Nous croyons que cela contribuerait grandement à améliorer les relations entre l’Administration et les employés et qu’ensemble nous serons plus à même de faire face à cette crise.

Sincèrement,

Thomas Chalmers – Président, MUNACA

Raad Jassim – Président, MCLIU

Andrew Fraser – Président, SEU/UES, Macdonald

Jose Rego – Président, SEU/UES Installations

Kiersten van Vliet – Présidente, AGSEM

Allen Neil – Président, SEU/UES (800) Métiers, Centre-Ville

Delali Egyima – Présidente, AMUSE

Giovanni Mendicino – Président, SEU/UES Centre de Calcul

Judy Dear – Présidente, MUNASA

Gaetan Serres – President, SEU/USE – Service de l’Imprimerie

Sean Cory – Président, AMURE

Since 2012, McGill students, faculty and staff have demanded that the university divest its endowment from the fossil fuel industry. This is a matter of climate justice: divestment is necessary to address the past, present and anticipated social, ecological and democratic damages of the fossil fuel industry.

On November 12 at 12PM, McGill’s committee reviewing fossil fuel divestment (CAMSR) will meet and finalize their recommendations on divestment to be approved by the Board of Governors on December 5th. The meeting on November 12 is the last chance for students, faculty, and staff to speak out before the decision is made.

Join us in a walkout to demand:

1) Divestment from the top 200 largest fossil fuel companies, globally by carbon reserves;

2) A public statement by the University recognizing that fossil fuels and fossil fuel companies do cause grave social injury;

3) That the Board of Governors’ discussion on divestment on December 5th be held in open session;

4) That CAMSR members commit to publicly presenting their preliminary findings and arguments at a community town hall organized within the first month of the Winter 2020 term, with question period for the community;

5) During the transition period toward full divestment of the endowment, all general McGill donations must go towards the trial fossil free fund.

Learn more about recent developments in the divestment campaign, including SSMU’s Moratorium on Ancillary fees until divestment and the unanimous strike vote by the Faculty of Arts, here:
https://drive.google.com/file/d/1u4II7y8RdYIgr3ruavz1PxMWfaqFFtPm/view.

This event will be held on stolen territory of the Kanien’kehá:ka (Ga-ne-ghe-HA-ka), the keepers of the Eastern Door of the Haudenosaunee Confederacy. Montreal, which is known as Tio’tia:ke (Gio-Jaw-Gé) in the language of the Kanien’kehá:ka, is a place of vibrant indigenous communities. Divest McGill is an organization that centers on social and environmental justice, and we feel it is crucial to be informed on the past and ongoing consequences of colonialism and to actively deconstruct its oppressive systems. This includes the compensating and returning of land to indigenous nations.

WALKOUT DETAILS:

WHAT: Walk out of class at 11:45 and meet with other students, staff, and faculty in Community Square. This event will feature speakers who are directly involved in the fight for climate justice and fossil fuel divestment and will also include chants and singing so that the McGill committee meeting inside the Administration building can hear the student support for fossil fuel divestment.
WHEN: Tuesday, November 12, 11:45AM – 1PM.
WHERE: Community Square (the grassy steps and surrounding area between McConnell and the Administration building).

Accessibility info: We recommend that wheelchair users meet on the side of Community Square closest to McConnell. There will be a loudspeaker at the event. For questions about specific accessibility needs, please contact the Divest facebook page.

See you there!